«Le vrac, c'est acheter ce dont j'ai réellement besoin, c'est reprendre le pouvoir sur sa propre consommation: ne pas être obligé de manger 500 grammes du même produit par exemple, s'enthousiasme Amandine Lagarde-David, 38 ans, à la tête de la franchise. Le deuxième effet c'est la réduction des déchets, ce qui permet enfin de faire des économies car le client ne paye pas l'emballage.»
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire