vendredi, décembre 16, 2011

Branche et nature a éclos

Stéphanie a ouvert, le 15 décembre 2011, sa boutique de fleurs
au 136 boulevard Saint Aignan
Un endroit branché !

samedi, décembre 03, 2011

Epices et vous, butte Sainte Anne

L'épicerie gourmande du haut du boulevard Saint-Aignan vient de s'installer à côté du Bistrot de Mr Jules sur la Butte Sainte-Anne.
Christine Giron et Muriel Montfort vous proposent, entre autres, épices, produits et légumes bio, ainsi que glaces ou sorbets de la Fraiseraie !
La boutique du 136 boulevard Saint-Aignan accueille désormais une fleuriste - dont la boutique s'appelle Branche et Nature.

lundi, novembre 14, 2011

Le cordonnier de la rue Raspail à l'honneur dans la presse

Voici l'article "Philippe Meunier, un cordonnier à l'aise dans ses pompes" paru dans Ouest France du vendredi 11 novembre 2011.

"La cordonnerie, Philippe Meunier a baigné dedans toute son enfance. « Mon père a repris cette boutique en 1961. À l'époque la rue Raspail comptait plus de 30 commerçants, raconte-t-il. Quand j'étais gamin, j'étais bien souvent derrière la caisse. » Il débute pourtant sa vie professionnelle dans la publicité : « J'ai été chef de pub pendant plus de dix ans. Et puis un beau jour, j'en ai eu ras le bol. » C'était en 1993 et son cordonnier de père allait prendre sa retraite. Alors, il l'a remplacé.
« Je ne regrette rien, je travaille beaucoup mais c'est un métier agréable. J'aime être indépendant et j'apprécie le côté relationnel de ce métier. » Sa clientèle est très variée : « ça va de la grande bourgeoise, qui fait refaire de très belles chaussures, au prolo qui prolonge de quelques mois ses chaussures achetées chez Carrefour », constate le cordonnier. Le service s'adapte à la demande : « En ce moment, avec la crise, on prolonge plus qu'avant ».
En dix-huit ans de pratique, Philippe Meunier a vu le métier évoluer : « Avant, les semelles étaient en caoutchouc. Puis de nouvelles matières synthétiques sont arrivées ; on s'est adapté. La qualité des chaussures a aussi pas mal baissé. » Et elles sont bien souvent jetées plutôt que réparées. Pour autant, ce cordonnier a choisi de rester sur une activité traditionnelle quand nombre de ses confrères comptent plus sur les clefs et plaques minéralogiques pour vivre. « Quand on travaille bien, on gagne sa vie dans ce métier. »
Un métier en voie de disparition ?
« Parmi les vingt cordonniers de Nantes, je suis assurément dans les plus jeunes, estime Philippe Meunier. Et aujourd'hui, lorsqu'un jeune va voir une banque pour emprunter 50 000 € pour une cordonnerie, on lui rit bien souvent au nez. »
Pourtant, Philippe Meunier voit encore un avenir à ce métier. Il reçoit régulièrement des jeunes en stage de découverte et « actuellement, pour la grande région Ouest, seize jeunes sont en formation de cordonnier à l'AFPA de Cholet ».
Philippe Meunier a encore de nombreuses années d'activité devant lui ; il ne sait pas si sa boutique trouvera repreneur. Il laisse chaque été, sur sa porte close pour congés annuels, de petits poèmes que ses clients savourent en attendant son retour.
Contact. Philippe Meunier, 20, rue Raspail, du mardi au vendredi de 7 h 45 à 12 h 30 et de 14 h 30 à 19 h 30, le samedi de 7 h 45 à 12 h 30."

jeudi, octobre 13, 2011

Marks & Spencer rouvre boutique, mais sur le net

En 2001, 18 enseignes du groupe britannique fermaient en France - dont celle de Nantes - située rue du Calvaire.
Aujourd'hui, Marks & Spencer ouvre un site de vente en ligne


Musées gratuits à Nantes

Les musées municipaux sont gratuits le 1er dimanche du mois
 de septembre à juin !

Château des ducs de Bretagne
Musée d'Histoire de Nantes
Musée Jules Verne
Muséum d'histoire naturelle

dimanche, octobre 02, 2011

Parlez anglais... a dream !


Kindermusik vous propose d'initier vos jeunes enfants à la langue de Shakespeare de façon ludique !
Une école les accueille dans notre quartier. 
Marie Ahrens - 47 rue Littré - 44100 Nantes
Tel : 06 65 63 05 77 - marie.lba@orange.fr

Procé le magnifique vous accueille dans son écrin




jeudi, septembre 22, 2011

La fresque a déménagé

Implantée depuis mai dernier Place de la Bourse, la fresque murale de Royal de Luxe est désormais installée place Alexis Ricordeau, près du restaurant universitaire. L’emplacement de la Place de la Bourse était jugé non adapté par les Bâtiments de France, le mur de 60 tonnes bouchant la perspective du quai de la Fosse. Cette vaste fresque présente les portraits de 300 personnages ayant fait l’histoire, petite ou grande, de Nantes, et fera partie de la biennale d’art Estuaire 2012.

vendredi, septembre 02, 2011

Accédez en temps réel aux prévisions météo de Nantes

"La météorologie, c'est l'art de prévoir ce qui change tout le temps."
Almanach de l'Os à moelle, Pensée du 31 juillet 1981.
Citations de Francis & Dac, Pierre Blanche 
Site à mettre dans vos favoris !

lundi, août 29, 2011

dimanche, août 28, 2011

Tony Zampino se taille un article

Voici l'article que Chantal Boutry a écrit sur le tailleur de notre quartier dans le Ouest France du lundi 22 août 2011.
"Il est l'un des seuls survivants de sa profession. L'Italien Tony Zampino, installé à Nantes depuis 1957, habille entièrement, sur-mesure, hommes et femmes.
Il est la coqueluche de son quartier. Tony Zampino, « Tony » pour tous ses voisins de la rue Lamoricière, à Nantes, respire la joie de vivre en... travaillant. Ce jeune homme de 73 ans, débarqué en France en 1957 et, toujours, de nationalité italienne, l'avoue sans détour : « Si j'arrête mon métier, je meurs ! »
Il est vrai que le petit Tony a très vite lâché ses jouets et quitté ses jeux d'enfant. Il n'a que 8 ans quand il découvre le monde du travail à Santa Croce di Magliano, son village natal. D'abord tonnelier, cordelier, puis, très vite, tailleur : « En Italie, après la guerre, il n'y avait rien pour aider les familles nombreuses. Alors, pour éviter qu'on fasse des bêtises, on allait le matin à l'école, et, l'après-midi, on était en apprentissage. J'ai été placé chez Michel Ziccardi, un maître tailleur réputé. J'ai très vite aimé toucher le tissu, découvrir l'art de la coupe et de la couture. » À 12 ans, Tony est déjà un pro : « Je faisais 3 ou 4 pantalons de styles différents, sur-mesure, par jour. »
Il n'a que 19 ans quand un cousin, installé à Nantes, lui demande de le rejoindre. Le jeune homme accourt : « Je n'ai pas hésité. Il m'a embauché comme tailleur dans sa boutique. Elle était rue de la Ville-en-Bois. » Le jour, il habille la bourgeoisie nantaise et le soir, il se divertit : « J'étais un excellent danseur. Et comme j'avais toujours des vêtements impeccables, je plaisais beaucoup aux jeunes filles ! » Souvenirs... Souvenirs... Le sourire et les yeux se font taquins.
Le travail et la famille Mais Tony a le sens des responsabilités chevillé au corps. Un héritage de son père. Il épouse une coiffeuse nantaise, Dominique, et devient père de deux garçons. Plus question de bal en solitaire. Il n'y a plus de place que pour le travail et la famille.
En 1965, Le tailleur Tony Zampino, atteint un des buts qu'il s'est fixé : « J'ai créé ma boutique en m'installant comme artisan. Je ne voulais pas quitter ce quartier que j'aime tant. J'ai trouvé un endroit au 9, rue Lamoricière. Je ne le quitterai jamais. » Il travaille au rez-de-chaussée. La famille vit au-dessus de l'atelier.
Il habille tout le monde : « J'ai confectionné des sous-vêtements et des pantalons de cow-boys pour stripteaseuses de cabaret, des habits moulants pour des jongleurs de cirque, mais, aussi, un costume pour un dirigeant d'entreprise pour sa rencontre avec le président Sarkozy, des robes du soir pour des invitées au mariage du prince Albert de Monaco. En fait, j'habille pas mal de monde en Europe, sur la Côte d'Azur, à Paris... Et, aussi, à Nantes ! » Que des pièces uniques : « Avec de la patience et un peu de connaissances, on arrive toujours à donner une élégance avec le sur-mesure. »
À 73 ans, Tony enfile son aiguille sans la moindre hésitation : « Il suffit de prendre un chas long et ça passe tout seul. J'enfile à la machine sans regarder mes doigts. Ils vont là où il faut... Ça s'appelle l'expérience ! » Et la retraite ? La réaction est épidermique : « Pourquoi arrêter ? J'ai toujours travaillé. C'est ma vie ! » Mais, cet été, Tony Zampino ferme boutique pendant huit semaines. Besoin de repos. Une première, dans sa très longue carrière de tailleur !"

mercredi, août 24, 2011

Histoire du roquio Le Chantenay

Classé « bateau d'intérêt patrimonial » en 2008, c'est un ancien « roquio » du port de Nantes, nom donné au premier bateau à vapeur de la Compagnie de navigation de la Basse-Loire assurant, entre 1887 et 1958, un service de passagers entre Nantes et Trentemoult. Le terme s'est généralisé à chacun des navires composant la flottille effectuant les traversées de Loire.
« Construit en 1888 par les Chantiers d'Argenteuil en région parisienne, le Chantenay n° 10 fut le dernier à assurer ces liaisons entre les rives nord et sud au coeur du port, jusqu'à son désarmement en 1970, après 92 ans de bons et loyaux services ! », commente Gérard Maray, vice-président de l'Association bateaux du port de Nantes (ABPN). « Initialement à vapeur, il fut diésélisé dans les années 1950. La machine d'origine a malheureusement disparu. » Les « roquios » n'assurent plus ce service depuis 40 ans. Ils ont laissé la place aux « navibus » !
« Nous avons racheté le Chantenay en 1998 à l'état d'épave. Au terme d'une importante restauration, de 2001 à 2007, il a retrouvé sa configuration des années 1930 et navigue à nouveau. »
L'ABPN est composée de bénévoles de compétences diverses et ouverte à tous. « Engagés dans la sauvegarde du patrimoine maritime et fluvial de Nantes, nous avons jusqu'à présent sauvé de l'abandon et restauré quatre navires. » Outre le Chantenay, il s'agit du Léchalas (1913), vedette à vapeur des ingénieurs du port et premier navire fluvial classé « Monument historique » en 1986, du Goëland (1933), remorqueur fluvio-maritime, bateau inaugural du canal Saint-Félix en 1934, et de L'Entêté (1967), l'un des tout derniers remorqueurs fluviaux du port.
Pour en savoir plus : « Des roquios aux navibus » de Serge Plat, paru fin 2010 aux éditions nantaises Coiffard.
www.abpn-nantes.com

mercredi, août 17, 2011

Un blog peut en cacher un autre

Comment la capitale historique de la Bretagne est en train de gâcher ses meilleurs atouts ? : un regard non conformiste, voire franchement satirique, sur Nantes en ce début du 21ème siècle : http://lameformeduneville.blogspot.com/

mardi, août 16, 2011

Place Zola d'un siècle à l'autre

En partenariat avec les Cartophiles nantais, Ouest-France explore l'histoire des quartiers nantais, en comparant deux photos d'un même lieu prises à cent ans d'écart. Ouest France du 12 août 2011 : la place Émile-Zola.
Anciennement place de la Chênaie, cette place de Chantenay, terminus d'une ligne de tramway jusqu'en 1956, fut la première en France à porter le nom de l'illustre écrivain Émile Zola. En effet, seulement vingt jours après sa mort en 1902, le maire républicain-socialiste de Chantenay, Paul Griveaud, décidait de rendre hommage au romancier, en rebaptisant de son nom un carrefour majeur de la commune.
Cette décision fut très mal vue par la voisine nantaise. Après le rattachement de Chantenay à Nantes en 1908, la municipalité n'accepta la dénomination définitive de la place Zola qu'en 1910.
Place de la Chênaie ou place Zola, ce lieu emblématique de Chantenay a toujours attiré les événements festifs : marchés, fêtes populaires et bien sûr les animations du Chalet Suisse. Cette maison de maître du XIX e siècle a d'abord été un repos de chasse avant de se transformer en café, au début du siècle suivant. Repaire incontournable des « années folles », cette guinguette accueillit de nombreux banquets et bals jusque dans les années 1980. La mode disco fit ensuite son oeuvre et le Chalet Suisse se métamorphosa en boîte de nuit pour le plus grand bonheur des jeunes nantais.
En 2007, les bulldozers ont eu raison de la vieille demeure. Cette destruction fut vécue comme un véritable « sacrilège » par de nombreux habitants. Une reproduction du porche de l'ancien Chalet Suisse a été plaquée sur la nouvelle résidence, bien maigre souvenir de cet ancien refuge festif.

Lola CLOUTOUR.


jeudi, août 11, 2011

Mettez-vous au parfum !

Profitez de vos vacances pour concocter une eau de toilette sensuelle ou une crême adoucissante.
Plein de recettes vous attendent sur


mercredi, août 10, 2011

L'Escarbille publie des romans



L'Escarbille est une maison d'édition associative nantaise attisée depuis 1998.
Elle publie des premiers romans incandescents et autres fictions contemporaines enflammées, à compte d'éditeur.


vendredi, juillet 29, 2011

Connaître la pharmacie de garde près de chez vous

Contacter le 32 37* (34 centimes d'euro la minute), avant 21 h, pour connaître les pharmacies de garde en Loire-Atlantique.

* Après 21 h et le week-end, il convient de contacter votre commissariat de police ou d'aller consulter la liste affichée dans la pharmacie la plus proche de chez vous.

jeudi, juillet 07, 2011

Nantes.com, un site convial et participatif

Nantes.com est à l'origine développé par un couple, nouvellement installé en région Nantaise, souhaitant découvrir et partager l'actualité de la métropole.
Adeptes du web, tant au niveau de l'écrit (pour Lydia) que du développement de site (pour Renaud), les créateurs de Nantes.com ont souhaité partager ce site avec le plus grand nombre, afin que chacun puisse participer à l'actualité et la vie de la métropole nantaise sur le web.
Ce site se veut donc extrêmement convivial ; et pour ce faire, les développements entrepris sur ce site se veulent de qualité professionnelle.
Aussi, nous accueillons avec beaucoup de plaisir toute remarque, idée, suggestion, permettant d'améliorer Nantes.com et de le faire partager.
De même, si certains parmi vous souhaitent prendre part au site, de quelque manière que ce soit, sachez que vous êtes les bienvenus.
Plus on est de fous...






dimanche, mars 27, 2011

Le stationnement à Nantes

Stationnement résidentiel : Le mot d'ordre pour la ville de Nantes et ses résidents, c'est "stationner l'esprit tranquille". Deux solutions sont proposées pour stationner au tarif résident : la carte et l'abonnement. Les tarifs : 165 euros pour l'abonnement annuel (soit 0,50 euro par jour maximum). Cela permet de s'affranchir de la délivrance du ticket de stationnement. 1 euro par jour avec la carte de stationnement résident qui permet de stationner jusqu'à 6 jours consécutifs. Mais délivrance obligatoire d'un ticket de stationnement à l'horodateur. Stationnement visiteur ou rotatif : Il existe deux secteurs tarifaires pour le stationnement non-résidentiel à Nantes : la zone rouge, pour un stationnement dans l'hypercentre et de courte durée, limité à 2 heures. Et la zone jaune, pour un stationnement de moyenne durée en périphérie du centre et limité à 3 heures. Les tarifs : 1 euro de l'heure en zone jaune de 9 h à 12 h et de 14 h à 19 h (sauf les dimanches et jours fériés, ainsi qu'entre le 14 juillet et 15 août). 1,70 euro de l'heure en zone rouge, entre 9 h et 19 h (sauf les dimanches et jours fériés).

vendredi, mars 11, 2011

Horaires des bus et trams nantais

Vous connaissiez sans doute le www.tan.fr
http://simpletan.fr vient de faire son apparition !
Cet agrégateur des horaires des bus et trams de l’agglo est présenté de façon simple et pratique.
Victor Leblais, jeune Nantais de 18 ans en prépa scientifique, a développé son projet tout seul, après ses cours. Aujourd’hui, la Tan semble intéressée par son concept.
A plus dans le bus...

vendredi, février 25, 2011

Avis aux Berthe aux grands pieds

Vous apprécierez ce site
http://www.larissa-chaussures.com
créé par une basketeuse professionnelle qui a eu du mal à se chausser
Il propose un large choix de chaussures pour hommes et femmes
du 42 au 45 pour elle
du 45 au 52 pour lui
Venez trouver chaussure à votre pied !

jeudi, février 17, 2011

Heureux qui comme Ulysse....

Dans les années 80, à Nantes, il y avait une figure. Il s’appelait Ulysse. La Cité des Ducs était sa Méditerranée : comme son homonyme écumait les mers, le vieux barbu nantais avait fait des rues de la ville un territoire de déambulation. Il était clochard mais fier : tout le monde connaissait ce visage, cette silhouette qui poussait continuellement un caddie d’où sortait une petite tête de chien.
C’est un destin peu banal qui l’avait amené ici. Fils de bonne famille, il avait gravi bien des échelons sociaux. Études supérieures couronnées de succès au lycée parisien Henri IV, hautes fonctions exercées dans des sociétés privées... Puis la chute. Un divorce qui lui fera faire des choix radicaux. C’est à ce moment-là qu’Alain Louis-François devient Ulysse, au début des années 80.
Il se fait connaître avec sa dégaine particulière, et cette particularité ne l’empêche pas de porter un regard un brin cynique sur ses concitoyens. « Un attroupement de moutons de Panurge qui essaie de s’émerveiller pour essayer de dire, Mais vous savez ma chère Marie-Chantal, je suis heureuse ! » Le point de vue d’Ulysse, très cultivé, valait son pesant de cacahuètes. Il se dit prof de philo aux caméras de la télévision venues réaliser un reportage sur lui. Mais étant donné sa verve et sa culture, personne n’aurait pu le contredire.
Comment se finit cette histoire ? Nul ne sait vraiment. On retient l’année 1990 comme étant celle de son départ de la ville. Ensuite, il serait parti en Bretagne. Ou alors dans un autre endroit où l’ancien clochard serait devenu étrangement fortuné. Nul ne sait vraiment, car les mythes ont besoin de flou pour exister. Un flou qui dure sur toute la vie de cet homme qui s’est éteint en 2002.


Découvrez ou redécouvrez-le : http://www.ina.fr/economie-et-societe/vie-sociale/video/NAC9001020526/portrait-d-ulysse-le-clochard-de-nantes.fr.html

mercredi, février 16, 2011

La confiture... çà dégouline

Cà passe par les trous de la tartine !
Profitez du week-end pour réaliser des confitures d'hiver avec les recettes suivantes : http://www.linternaute.com/femmes/cuisine/gastronomie/recettes-de-confiture-d-hiver/en-savoir-plus.shtml?f_id_newsletter=4410

samedi, février 05, 2011

Service motoculture à domicile

Nouveau dans le quartier...
Maxime Boulard - fils de l'opticien de la place Zola - répare, entretient ou dépanne vos tondeuses, pour un forfait de base de 45 euros, mais aussi tronçonneuses, taille haies, motoculteurs ou motobineuses.
Profitez de la trève hivernale, pour faire appel à ses services au 06 07 04 05 27 ou par courriel motoculture.maxime@laposte.net

jeudi, janvier 27, 2011

Anniversaire


Dans son papier de verre, Hervé Le Tellier écrit, en ce 28 janvier 2011 :
"90 ans aujourd'hui que le tombeau du soldat inconnu a été inauguré sous l'Arc de Triomphe. Vu les progrès de la science, n'est-il pas temps de procéder enfin à un test ADN ?"